Les dates du voyage en Ouzbékistan ne sont pas encore tout à fait fixées. Mais le programme est le suivant :
Patrick Zeo peut vous donner les renseignements complémentaitres. les inscriptions seront à finaliser en septembre-Octobre
OUZBÉKISTAN
La Route de la Soie
ARECMO
Circuit 12 jours
Au départ de Vannes vers l’aéroport de Paris
Avril 2025
Ourguentch, Khiva, Boukhara, Samarcande, Chakhrisabz, Qorateri, Tachkent…
Longtemps oublié du monde extérieur, l’Ouzbékistan dévoile aujourd’hui ses trésors et l’accueil incomparable de ses populations. Ce circuit passionnant vous entraîne à la découverte des cités qui hantent depuis la nuit des temps les rêves des voyageurs et des conquérants. Au carrefour des Routes de la Soie, Samarcande et Boukhara vous ouvrent leurs portes, pour une immersion au cœur de l’Orient et de la beauté, de l’authenticité et des saveurs.
ATOUTS +
۵ Entrée Ourguentch / sortie Tachkent
۵ Une formule très complète pour une excellente approche
de l’Ouzbékistan et de ses villes mythiques
۵ Visite de Chakhrisabz, ville natale de Tamerlan
۵ Découverte unique de la culture ouzbèke (repas chez l’habitant, rencontre avec des étudiants, préparation du plov, dégustation de vins ouzbeks, dîner folklore khorezmien…)
۵ Visite d’une fabrique de tapis de soie
۵ Spectacle au théâtre « El Merosi »
۵ Trajets Khiva / Boukhara, Boukhara / Samarcande,
Samarcande / Tachkent en train
۵ Rencontres passionnantes et tourisme responsable
dans le village de Qorateri
VOS ETAPES
J 1. MORBIHAN , AEROPORT DE PARIS ✈OURGUENTCH …
J 2. OURGUENTCH, KHIVA (30 KM )
J 3. KHIVA, TOPRAK KALA, AYAZ KALA, KHIVA, BOUKHARA (110 km et train)
J 4. BOUKHARA
J 5. BOUKHARA
J 6. BOUKHARA, SAMARCANDE (en train)
J 7. SAMARCANDE
J 8. SAMARCANDE, CHAKHRISABZ, SAMARCANDE (240 km)
J 9. SAMARCANDE, QORATERI, SAMARCANDE (70 km)
J 10. SAMARCANDE, TACHKENT (en train)
J 11. TACHKENT
J 12. TACHKENT ✈AEROPORT DE PARIS, MORBIHAN
VOTRE PROGRAMME
J 1. MORBIHAN , AEROPORT DE PARIS ✈ OURGUENTCH … :
Départ de votre ville en autocar vers l’aéroport de Paris.
Assistance aux formalités d’enregistrement et envol pour Ourguentch sur vols réguliers .
Dîner et nuit à bord de l’avion.
J 2. Ourguentch, Khiva (30 KM)
Arrivée à Ourguentch et route vers la célèbre oasis de Khiva.
Visite de la vieille ville intérieure de Khiva, Itchan Kala.
Le fils de Noé aurait creusé un puits à l’endroit ou se dresse aujourd’hui la ville de Khiva. Cette dernière a gardé de cette légende son côté mystérieux, de ceux qui envoûtent et séduisent les plus grands voyageurs. La vieille ville intérieure de Khiva, Itchan Kala, est une véritable cité de briques abritant des mystères depuis des siècles. Plus de 50 monuments historiques et plus de 250 habitations anciennes parsèment la ville. Elle fut très longtemps la dernière oasis forteresse avant la Perse sur la Route de la Soie, s’étendant sur plus de 400 mètres de largeur et 600 mètres de longueur. L’ensemble est cité au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO.
Visite de Kounya Ark, datant du XVIIème siècle. Cette citadelle est l’ancienne résidence des Khans de Khiva.
Visite du mausolée de Pakhlavan Makhmoud. Cet ancien atelier a été transformé en complexe funéraire, car le poète du XIIIème siècle souhaitait y être enterré. Il a donc été reconstruit du XIVème au XIXème siècle.
Visite du minaret et la medersa Islam Khodja. Le minaret bleu et blanc, haut de 45 mètres, a été construit en 1908. Le minaret est la tour élevée aux abords des mosquées de laquelle sont lancés les 5 appels, à la voix, à la prière par le muezzin.
La medersa de 42 cellules, construite en 1910, enferme aujourd’hui le Musée des Arts appliqués (vue extérieure).
Découverte du minaret Kalta Minor, entièrement recouvert de carreaux vitrés et de majolique. Il devait être le plus haut minaret du monde avec une hauteur de 70 mètres, cependant les travaux ont été interrompus suite à la fuite de l’architecte alors qu’il n’atteignait que 29 mètres.
Visite du palais Tach Khovli. Inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, ce « palais de pierre » du XIXème siècle est situé dans le quartier fortifié. Il abrite plus de 200 pièces concentrées autour de 3 cours.
Déjeuner avec dégustation de «chivitoshi» spécialité typique de la région. Ce sont des nouilles à l’aneth agrémentées d’oignons, de tomates, de viande et de pommes de terre.
Découverte des bains publics Anoucha Khan. Construits au XVIIème siècle pour Anoucha, le fils du Khan Abdoul Gazi.
Découverte de la Merdesa Muhammad Rahimkhan. Située dans le quartier fortifié, elle est construite sur le plan carré traditionnel en 1876. Composée de 70 cellules, la medersa dispose également des salles d’études et d’une bibliothèque.
Visite du Musée de Khorezm. Ce musée présente l’histoire de l’Ancien Khorezm, cette région au nord de l’Ouzbékistan.
Découverte du Musée d’Avesta. L’origine du nom de ce musée vient de la légende racontant que le Livre saint du zoroastrisme, appelé « Avesta » (une des premières religions), a été écrit à Khiva.
Visite de la mosquée du Vendredi. Egalement appelé « mosquée Djouma », construite en 1789 sur les fondations d’une ancienne mosquée, elle est la plus grande mosquée de Khiva. Plus de 200 colonnes de différentes époques de 4 à 5 mètres chacune soutiennent le plafond.
Découverte de la Mosquée Ak et du caravansérail d’Allakouli Khan. Construit au XIXème siècle à la place d’une partie de rempart. L’entrée principale du caravansérail est reliée avec la cour. Il a la fonction d’auberge, d’entrepôt et de marché.
Dîner dans une medersa avec folklore khorezmien. Le nom khorezmien signifie en vieux-perse « Pays du soleil ».
Logement à l’hôtel.
J.3. Khiva, Toprak Kala, Ayaz Kala, KHIVA, Boukhara (110 KM, puis EN train)
Route vers Toprak Kala. Visite du remarquable site archéologique sur les collines du Kyzyl Koum. Egalement appelé « citadelle d’argile », cette forteresse en ruine date du 1er siècle avant J.-C. Son architecture est remarquable avec une base rectangulaire de 500 mètres par 350 et une hauteur de mur de 20 mètres. Cette forteresse subit de nombreuses attaques dont une fatale de la part des Huns hephtalites qui, pour obtenir victoire, ont détruit les canalisations d’irrigation. Les chercheurs n’arrivent toujours pas à expliquer pourquoi les Khorezmiens avaient les yeux et les cheveux clairs alors que leurs peaux avaient une teinte foncée.
Continuation de route vers Ayaz Kala et visite de la ville. Elle a été construite au sommet de la colline au IVème siècle avant J.-C. Elle est surnommée la « forteresse au vent » en lien avec le labyrinthe situé à l’entrée de la forteresse. Les chercheurs n’ont toujours pas réussis à comprendre pourquoi la ville a été désertée en pleine construction.
Déjeuner sous la yourte à Ayaz Kala.
Retour à Khiva.
Transfert à la gare et départ en train pour Boukhara.
Dîner sous forme de panier repas.
Arrivée à Boukhara.
Transfert à l’hôtel. Logement à l’hôtel.
J 4. Boukhara
Plus d’une centaine d’édifices de cette cité sont classés au patrimoine mondial établi par l’UNESCO. L’ancienne capitale perse est en effet riche en culture, et ses murs chargés d’histoire ne laissent pas indifférents. On peut y admirer de nombreuses medersas érigées par les princes perses comme Oulugh Beg, image de la volonté d’éducation et de piété qui entourait jadis la cité. On y admire également les vestiges de somptueux palaces ainsi que de belles façades, richement décorées de mosaïques typiques de l’Asie Centrale.
Visite de la citadelle d’Ark. Avec une superficie de 4 hectares, cette forteresse datant du IV-IIème siècle avant J.-C., a été détruite et reconstruite à de nombreuses reprises. La légende raconte que, si les 7 piliers des fondations n’étaient pas alignés avec la constellation de la Grande Ours, les murs s’effondraient.
Découverte du Mausolée Samanide. Au cœur du centre historique de Boukhara se dresse un monument unique, célèbre dans toute l’Asie Centrale : le mausolée d’Ismaïl Samani, fondateur de la dynastie perse des Samanides. Ce tombeau, surnommé « la Perle de l’Orient », édifié entre 892 et 943 afin d’accueillir la sépulture du grand émir, fut par la suite un modèle d’architecture pour le monde arabo-perse. La partie souterraine du mausolée, longtemps ensevelie, est aujourd’hui rénovée. Pour redonner le cachet originel de ce bâtiment de forme cubique et surmonté d’un dôme, un bassin a été creusé.
Déjeuner en ville.
Découverte du Mausolée Tchachma Ayoub qui signifie « Source du Prophète Job ». Selon la légende, Job, en plantant son bâton de pèlerin, a fait jaillir une source d’eau pure. Le prophète de l’ancien testament a été enterré proche de cette source.
Visite de la mosquée Bolo Khaouz. Traduite par « Bassin d’enfants », son surnom est la « Mosquée à 40 colonnes ». Construite en 1712, son iwan (porche voûté) de 12 mètres est un des plus hauts d’Asie centrale.
Visite du Palais Sitora I Mohi Khosa agrandit 3 fois avec les successions des émirs. A la fin du XIXème siècle, l’émir Ahadkhan demanda la construction. L’émir qui lui succéda, Mouzzaffarkhan, développa ce palais en faisant construire le bâtiment principal pour sa femme, Sitoraï-Bonou. Suite à son décès, il renomma le palais sous son nom actuel qui signifie « le Palais de l’Etoile pareille à la Lune ». Le dernier émir qui lui succéda développa encore ce palais.
Visite de la place Lyabi Khaouz. Le lieu de vie s’organise autour de ce bassin de 4 000 m2, situé au cœur de la ville-oasis et entouré de somptueux monuments. Selon la légende, le vizir de l’émir de Boukhara Nadir divan-Begui avait offert à sa femme une paire de boucles d’oreille. Sa femme fût vexée d’un si petit geste. Quand il fit construire cet ensemble, sa bien-aimée protesta contre cette construction extravagante. L’émir lui précisa qu’une seule des boucles d’oreille permis de payer cette construction.
Découverte de la khanaka Nodir Devon Begui. Construite entre 1619 et 1620, elle fait partie de l’ensemble Lyabi Khaouz dont la façade est décorée de mosaïque.
Visite de la medersa Koukeldash, traduite par« frère de lait ». Bâtie au XVIème siècle selon un schéma de construction différent des autres medersas, elle est la plus grande de la ville et contient 160 cellules pour les étudiants. La phase de reconstruction de la medersa a été planifiée jusqu’en 2020.
Découverte de la mosquée Magoki Attari. Construite dans le centre-ville au IXème siècle, sa traduction signifie par « la mosquée profonde ». Cette mosquée urbaine asymétrique de 6 piliers a été reconstruite et remaniée au fil des siècles.
Visite de la Medersa d’Oulougbek et Medersa d’Abdul Aziz Khan, rivalisant de beauté l’une et l’autre.
Dîner dans la medersa Nodir Devon Begui.
Logement à l’hôtel.
J 5. Boukhara
Visite du majestueux ensemble Poïkalian (traduit comme « le piédestal du Grand ») inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO qui comprend la médersa Mir-I-Arab, la mosquée du Vendredi, et le minaret Kalian. Le minaret Kalian érigé en du XIIe siècle et haut de 48 mètres est un véritable emblème de Boukhara. Les muezzins (gens attachés à la mosquée) l’utilisaient pour appeler les fidèles à la prière. Etant la plus haute tour à l’époque, il servait également de repère pour les caravanes. La passerelle relie le minaret au toit de la mosquée Kalian. La mosquée Kalian, également appelée mosquée du Vendredi, a été construite au XVe siècle selon les traditions de l’architecture islamique. L’entrée principale est décorée d’un haut portail en mosaïque et de deux coupoles bleues. Dans sa cour rectangulaire la galerie couverte est ornée de 288 coupoles posées sur les épaisses colonnes. Considérée comme l’une des plus anciennes mosquées de l’Asie centrale, elle pouvait accueillir jusqu’à 12 000 Fidèles. La médersa Mir-I-Arab a été construite au début du XVIe siècle sur ordre du Cheikh Abdullah al-Yamani sur les fonds obtenus grâce à la vente de 3 000 esclaves persans. Cette école coranique surmontée d’une coupole verte émeraude se compose de 114 cellules, 4 iwans (grandes salles voûtées) qui servaient d’auditoriums d’été, 2 grandes salles dont l’une occupée par l’espace funéraire avec la tombe du fondateur et de l’architecte de la médersa et l’autre abritant la mosquée. Les mosaïques et les carreaux aux motifs végétaux, épigraphiques, géométriques décorent en richesse la façade et l’intérieur de la médersa. Cet établissement d’enseignement religieux reste en activité de nos jours et forme les futurs Muftis (interprètes du droit musulman).
Découverte du minaret de Tchor Minor (ce qui signifie « quatre minarets ») qui symbolise les quatre points cardinaux. Sa construction a été initiée par un riche marchand turkmène, Khalif Niyazkoul, après sa visite de Taj Mahal en Inde. Selon ses conditions imposées aux maîtres-bâtisseurs la médersa devait être érigée sur la Route de la soie et son architecture devait symboliser l’égalité de toutes les parties du monde et de tous les habitants de la planète. Chacune des quatre tours qui n’ont jamais rempli la fonction de minaret, a une forme différente. Selon une opinion répandue, la décoration des tours représenterait la conception philosophique de 4 religions du monde.
Visite des marchés couverts du XVIe siècle reconnaissables par leur «Tok» (succession de voûtes permettant l’accès aux chameaux chargés de marchandises) abritant les coupoles des chapeliers et des joailliers.
Déjeuner.
Rencontre avec des étudiants dans la médersa «Isteza», la plus petite d’Asie centrale. Laissée à l’abandon depuis 1925, elle a été restaurée dans les années 1990. Depuis 1998, ce centre culturel accueil un espace de conseil et d’enseignement.
Concert de musique classique. Dîner et logement.
J.6. Boukhara, Samarcande (EN TRAIN)
Visite du complexe Nakshbandi. Ce complexe commémoratif est l’un des plus importants sanctuaires musulmans. Le maître spirituel d’Amir Temur, Naqshbandi, appelé à la modestie et au rejet du luxe. La base de sa philosophie était « Le cœur avec le Dieu, les mains au travail ».
Visite de la maison Fayzullo Khodjaev. Ce bâtiment de 3 hectares a été transformé en musée. Les expositions montrent des ethnographies des riches et des commerçants ainsi que des objets d’art et de musique du XIX et XXème siècles.
Découverte de la nécropole Tchor Bakr. A la demande Abdallah Khan, elle fût construite en 1560 à 5 km de Boukhara. Cette nécropole comprend le double tombeau d’Abou-Bakr Saad et d’Abou-Bakhr Ahmad, descendants de Mahomet.
Déjeuner en ville.
Transfert à la gare et départ en train pour Samarcande.
Arrivée à Samarcande et installation à l’hôtel.
Dîner en ville et logement à l’hôtel.
J 7. Samarcande
La cité bleue, capitale de Tamerlan, aujourd’hui 2ème ville du pays. La cité perse n’a rien perdu de son éclat d’antan ; s’étendant au pied de la chaîne montagneuse du Turkestan, elle bénéficie de la végétation luxuriante de l’oasis qui l’accueille. Autrefois détruite par le célèbre Gengis-Khan, elle fut reconstruite par Tamerlan, un conquérant qui a su rapporter de ses nombreux voyages tout l’art du Caucase, de l’Inde et du Moyen-Orient.
Découverte de la place du Reghistan, le cœur de Samarcande. Décrite comme le plus magique de Samarcande, cette place servait aux châtiments corporels et aux exécutions publiques. La Place de sable, du à la présence du sable pour absorber le sang, est cernée de trois medersas, monumentales et possédant un style unique, construites à différentes époques.
La medersa Ouloughbek fût la première construite en 1417 par le petit-fils de Tamerlan. Elle a été reconnue au XVème siècle comme une des meilleures universités spirituelles de l’Orient musulman.
La medersa Chir-Dor érigée en 1619. Son portail représentant le symbole du pouvoir de Samarcande lui vaut son nom traduit de « Logis des lions ». Les murs de cette medersa sont couverts de citations du Coran.
La medersa Tilla Kari construite en 1646 et restaurée au XXème siècle. Traduite par « aménagée d’or », les décors d’ornement sont très présents.
Découverte du mausolée de Gour Emir. Le « tombeau du souvenir » est impressionnant par sa taille ; un dôme de 32 mètres, une coupole étirée de 12 mètres 50 de haut et de 15 mètres de diamètre couverte de briques bleues.
Déjeuner en ville.
Visite de la mosquée Bibi Khanoum. La mosquée « la première femme » fût construite de 1399 à 1404. Pour réussir cet exploit, 99 éléphants d’Inde ont été apportés en plus des 500 ouvriers et des 200 tailleurs de tailles. 400 coupoles soutenues par plus de 400 colonnes de marbre étaient présentes à sa construction. Les travaux sont toujours en cours pour réparer ce bâtiment qui commença déjà à s’abimer du vivant de Tamerlan.
Promenade dans le bazar Siab. Autant populaire que le marché Tchorsu à Tachkent, les deux marchés étaient connus grâce à leur statue de capitale. Ils étaient donc alimentés toute l’année de produits du monde.
Visite d’une fabrique de tapis de soie. Les teintures sont produites, majoritairement à base de pigments naturels. Les transformations sur les cocons des vers à soie sont effectuées pour obtenir des fils de soie blancs. Il faut environ 8 kg de cocons pour obtenir 1 kg de soie. Les fils sont ensuite colorés puis tissés.
Dîner de « chachliks » (brochettes) dans un restaurant traditionnel. Littéralement « six morceaux », ce sont des brochettes composées de six morceaux de viande et de gras. Les plus communes sont à la viande de mouton, mais on en trouve également au bœuf ou au poulet. Accompagnée d’oignon au vinaigre, la viande est légèrement épicée ou parfumée à la coriandre.
Logement à l’hôtel.
J 8. Samarcande, Chakhrisabz, Samarcande (240 km)
Découverte de Chakhrisabz. Signifiant la « ville verte » dû à ses nombreux jardins, la ville natale de Tamerlan a connu son apogée au XVème siècle sous l’empire timouride. Elle est un symbole de l’union nationale par sa mixité.
Déjeuner en ville.
Découverte des vestiges de l’Ak Saraï, ou « Palais Blanc ». Au XVIème siècle, l’émir de Boukhara fit détruire ce somptueux palais couvert de majolique azur et bleu foncé. Comme vous pourrez le constater, le palais n’est pas blanc. C’est une mauvaise traduction du mot « Ak » qui signifie « noble » en réalité, mais ce nom lui est resté.
Visite de Dorout Tilovat. Cette « maison de la méditation et de la contemplation » a été construite par Tamerlan en 1373. La ressemblance des deux coupoles surmontant les deux mausolées est frappante.
Découverte de la mosquée Kok-Guymbaz. Traduite par « coupole bleue », cette mosquée du vendredi, avec son immense coupole bleue, fût construite en 1435 par Ulugh Beg, le petit-fils de Tamerlan.
Découverte de l’ensemble Dorout Siadad. Le mausolée fût bâti en 1375 par Tamerlan suite à la mort de son fils âgé de 22 ans. Richement décoré d’or et d’azur selon Clavijo, le mausolée dispose d’une inscription sur son fronton : « Le sage agit avec de nobles intentions tandis que l’idiot compte sur de nobles intentions ».
Retour à Samarcande par la route qui serpente les montagnes.
En soirée, spectacle au théâtre « El Merosi ». Ce théâtre du costume historique permet de découvrir l’évolution des costumes, et du mode de vie, du Ier siècle avant J.-C. jusqu’au XVème.
Dîner logement à l’hôtel.
J 9. Samarcande, QORATERI, Samarcande (90 km)
Journée du tourisme solidaire !
Départ matinal pour le village de Qorateri, à une demi-heure de route de Samarcande : c’est ici que Pouchkine Tours a choisi de poursuivre sa démarche de tourisme solidaire, en apportant son financement pour l’aide à la scolarité des enfants de ce village (voir ci-dessous). Visite de l’école et rencontre avec les élèves et les enseignants : un accueil chaleureux pour des instants précieux et sincères. Puis découverte de la vie rurale ouzbèke lors de la visite d’une ferme agricole, puis présentation des cérémonies traditionnelles et atelier de cuisine.
Déjeuner chez l’habitant, animé par les danses et les chants des villageois avec la participation à la préparation du « plov ». Ce plat national ouzbek, à base de riz sauté et de viande de mouton, est décliné sous une centaine de recette selon les régions. A Boukhara, le riz n’est pas sauté, mais bouilli. Dans la vallée de Ferghana, il est accompagné de feuilles de vignes farcies de viande et d’oignon. Ailleurs, il est agrémenté d’ail, de pois chiches ou de raisin. Le plat est traditionnellement cuisiné le vendredi, ainsi que pour toutes les grandes occasions.
Tourisme solidaire
En 2018, Pouchkine Tours a fêté les dix ans de ses actions de tourisme solidaire en Ouzbékistan. De l’équipement solaire de Maïntepa et de l’aide pour l’école de Maïntepa aux fermes de mûriers de Sazagan, c’est avec une passion sincère que nous avons mené les missions que nous nous étions fixées.
Il faut dire qu’en Ouzbékistan, tout nous tient à cœur : à la fois vous faire découvrir un patrimoine extraordinaire, millénaire, mais également vous offrir la chance de rencontrer une population chaleureuse et attachante, tout aussi précieuse, pour qui un sourire vaut plus que mille paroles.
Pour 2019, l’enjeu est à présent à Qorateri, un village proche de Samarcande. Nous y avons posé notre cœur et y invitons le vôtre afin d’améliorer le quotidien des élèves du village : création d’infrastructures plus modernes, fourniture de matériel, aménagement d’espaces sportifs…
Et si, outre la découverte d’une destination fascinante, votre voyage contribuait à la vie locale ? Si votre visite prenait la plus belle des dimensions, celle de l’humain et de l’échange ?
Retour à Samarcande et visite d’un atelier de papier où vous découvrirez la technique du parchemin. Ce papier, réputé comme étant l’un des plus lisses et résistants au monde, est fabriqué depuis le IXème siècle. La technique de fabrication est ancestrale.
En fin d’après-midi, dégustation de vins ouzbeks. Les vignes ont été introduites en Ouzbékistan à l’époque romaine. Sous l’époque Gorbatchev, pour lutter contre l’alcoolisme, une grande partie du vignoble fut arraché. Mais la vigne a réussi à prospérer.
Dîner et logement.
J 10. Samarcande, Tachkent (en train)
Visite de l’observatoire d’Ouloughbek. Construit en 1420 par Ouloughbek, petit-fils de Tamerlan et célèbre astronome, l’observatoire est considéré comme un monument historique. Gouverneur passionné par la science, il fut assassiné par le peuple qui n’appréciait pas son régime politique. Longtemps abandonné, le bâtiment en ruine laisse apercevoir le géant sextant d’un rayon de 40 mètres, laissant imaginer la grandeur de l’édifice.
Visite du site d’Afrosiab et du musée. Fondée au VIIème siècle avant J.-C., la ville d’Afrosiab a été détruite au XIIIème siècle par Gengis Khan. Les fouilles ont débuté en 1894 et ont permis de démontrer la grandeur d’Afrosiab : centre culturel et commercial. Le musée présente des photos et l’historique des fouilles de cette colline ainsi qu’une fresque du VIIème siècle.
Découverte de la nécropole de Chakh-i-Zinda. Construite au XIème siècle, la nécropole du « Roi vivant » est un grand centre spirituel et religieux composé de 11 mausolées destinés aux dirigeants du pays et à leurs familles.
Déjeuner en ville. Transfert à la gare et départ en train pour Tachkent. Arrivée à Tachkent.
Dîner en ville et logement à l’hôtel.
J.11. Tachkent
Capitale de l’Ouzbékistan, Tachkent est aussi une ancienne cité pieuse, une oasis propice aux caravansérails. Mais aucune trace ne subsiste de l’époque de la glorieuse route de la soie – le tremblement de terre de 1966 ayant détruit une grande partie de la ville -, hormis quelques medersas et quelques édifices, bien moins gargantuesques que ceux des autres cités. Tachkent est une ville moderne, une capitale qui s’impose réellement en Asie Centrale. Elle représente l’arrêt incontournable pour tout visiteur en Ouzbékistan.
Vous parcourrez le parc d’Alisher Navoi, en l’honneur du philosophe et poète perso-ouzbek mort en 1501. Il longe le canal Ankhor, autrefois la séparation entre la ville ouzbek et la ville russe moderne.
Vous traverserez la place de l’Indépendance et apercevrez de nombreux monuments comme la statue de la « Mère-Patrie », celle de la « Mère en deuil » ou bien la flamme éternelle.
Découverte du monument du courage érigé à la mémoire des victimes du tremblement de terre du 26 avril 1966.
Découverte du Parc de la Victoire.
Déjeuner en ville.
Visite du musée des Arts Appliqués. Situé près du centre de Tachkent, le musée est installé dans l’ancien palais d’un diplomate russe du XIXème siècle, Polotsev, qui appréciait particulièrement l’architecture et l’art ouzbeks.
Visite du complexe Khasti Imam. Restauré en 2007, ce centre religieux situé dans la vieille ville est considéré comme sacré.
Visite de la Medersa Koukeldach. La médersa (ou madrassa) désigne une école laïque, religieuse ou une université théologique. Elle signifie ici « ami de cœur » en lien avec la confiance apportée aux sultans. Construite au XVIème siècle, elle accueille de nouveau les étudiants. Son statut de plus importante medersa de la vieille ville de Tachkent est confirmé par son immense portail haut de 19 mètres.
Découverte du marché Tchorsu, signifiant « quatre chemins ». Il est le plus grand bazar de Tachkent. Les bazars sont des véritables parcelles de vie de toute une culture, mêlant utilité et pure tradition. Les étals de marchandises enivrent le visiteur avec leurs parfums de kakis, de grenades et d’épices. Cette visite révèle bien des secrets de la vie ouzbèke et permet de partager un moment unique dans un lieu pittoresque et incontournable.
Découverte du métro de Tachkent. Les photos et vidéos y sont donc interdites et la police qui circule en permanence est très stricte à ce sujet car le métro a été construit selon les normes antisismiques et il peut servir d’abri nucléaire.
Dîner d’adieu dans un restaurant traditionnel.
Logement à l’hôtel.
J.12. Tachkent ✈ PARIS, MORBIHAN
Selon les horaires de vols , transfert à l’aéroport de Tachkent. Vol pour Paris.
Débarquement, puis retour en autocar vers votre ville.
** programme sous réserve de modification dans l’ordre des visites **
INFOS VERITE
Les lieux de culte peuvent parfois être fermés en cas de prières ou d’événements particuliers.
Des taxes sont perçues dans certains musées et sites pour la prise de photos et vidéos.
L’ordre des visites est non contractuel et peut donc changer pour des raisons logistiques jusqu’au départ.
HOTELS
Hôtel Arkanchi 3* à Khiva,
Hôtel Malika 4* à Boukhara,
Hôtel Arba 4* à Samarcande,
Hôtel Residence Park 4* à Tachkent,
Ou similaires, classification normes locales.
Autres catégories d’hôtels possibles : nous consulter.
VOLS
Vols réguliers Turkish Airlines (via Istanbul) pour Ourguentch A titre indicatif
Départ |
Arrivée |
N° de vol |
Jour |
||||||
Aéroport |
Heure |
Aéroport |
Heure |
||||||
Paris CDG |
15H10 |
Istanbul IST |
20H50 |
TK1834 |
|||||
Istanbul IST |
01H15 |
Ourguentch UGC |
07H00 |
TK262 |
|||||
Tachkent TAS |
09H20 |
Istanbul IST |
12H35 |
TK369 |
|||||
Istanbul IST |
14H05 |
Paris CDG |
16H55 |
TK1833 |
FORMALITES
Passeport (valide plus de 6 mois après la date du retour).
Depuis le 08 octobre 2018, les ressortissants français sont exemptés de visa pour un séjour de moins de 30 jours en Ouzbékistan.
Nationalités autres que Française : nous consulter.
OUZBEKISTAN
La Route de la Soie
Circuit 12 jours / 10 nuits
Au départ de Vannes vers l’aéroport de Paris
Pension complète
Hôtels de 1ère catégorie (normes locales)
Avril 2025
PRIX TTC PAR PERSONNE
LES VOLS (sous réserve de modifications) : Compagnie Turkish Airlines au départ de Paris (via Istanbul)
Base de participants et période de départ : |
AVRIL 2025 |
Base 35 participants et + |
2 295 € |
Base 30-34 participants |
2 365 € |
Base 25-29 participants |
2 445 € |
Prix établis selon disponibilités terrestres et aériennes lors de la réservation et selon conditions économiques connues au 17/05/2024 et révisables en cas de hausse du prix du transport terrestre et aérien liée au coût du carburant et du taux du dollar. A noter : les taxes aériennes étant susceptibles d’être modifiées, les tarifs indiqués ci-dessus peuvent en conséquence être réajustés.
Notre prix comprend :
* Les transferts en autocar aller et retour Vannes – aéroport de Paris
* Les vols réguliers Turkish Airlines (via Istanbul) Paris / Ourguentch à l’aller et Tachkent / Paris au retour
* Les taxes aériennes et de sécurité au 12/06/2023 (valeur : 106 € sur vols Turkish Airlines – révisable jusqu’à 30 jours avant le départ)
* Les trajets en train Ourguentch / Boukhara, Boukhara / Samarcande et Samarcande / Tachkent en 2nde classe
* L’hébergement (10 nuits) en hôtels 3*** et 4**** (normes locales) en chambre double
* La pension complète du petit-déjeuner du J2 au petit -déjeuner du J12
* L’eau minérale et le thé au cours des repas .
* Le circuit en autocar climatisé
* Les excursions et visites prévues au programme
* Les services d’un guide accompagnateur francophone pendant le circuit en Ouzbékistan
* Les taxes de promotion touristique et services hôteliers en vigueur ainsi que la taxe sur la valeur ajoutée au 12/05/2023.
* Le port des bagages (aéroports, gares, hôtels)
* Les frais de visa (exemption de visa pour les ressortissants français à compter du 08/10/2018 pour un séjour de moins de 30 jours en Ouzbékistan).
Notre prix ne comprend pas :
* Les assurances annulation assistance rapatriement : 60 euros
* Le supplément chambre individuelle : 295 €
* Les repas du J1 et du J12 sur les trajets MORBIHAN /PARIS aller- retour .
* les pourboires et dépenses personnelles
* Les taxes perçues dans certains musées et sites pour la prise de photos et vidéos
FORMALITES DE POLICE OBLIGATOIRES :
PASSEPORT ENCORE VALABLE 6 MOIS APRES LA DATE DU RETOUR
Devis établi le 17/05/2024 sous réserve de disponibilités aériennes et terrestres lors de la réservation définitive et selon les conditions économiques actuelles.
BON A SAVOIR
La restauration
L’Ouzbékistan développe une cuisine locale à base de crudités, soupes, viandes grillées et féculents (riz, pommes de terre). Néanmoins il reste un pays à “tourista”. C’est pour cette raison que Pouchkine Tours privilégie des établissements de type international quand cela est possible tout en conservant certains restaurants plus authentiques et des repas chez l’habitant. Les voyageurs doivent rester prudents et écouter les conseils de leurs guides. Attention, l’eau n’est pas potable !
En septembre et octobre, les bazars se gorgent de fruits et de légumes d’excellente saveur, dont la plupart proviennent de la fertile vallée de Ferghana. C’est aussi la saison du melon, des pastèques et des citrouilles. Le thé, vert ou noir, est la boisson incontournable en Ouzbékistan.
La vodka est omniprésente !
(L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. À consommer avec modération).
Spécialités :
• Le palao (plov) : plat national ouzbek à base de riz sauté et de viande de mouton, agrémenté selon les régions.
• Le chachli : littéralement “six morceaux”, ce sont des brochettes composées de six morceaux de viande et de gras. Les plus communes sont à la viande de mouton, mais on en trouve également au bœuf ou au poulet.
Les kebabs sont des pièces de viande hachée, moulées à la main autour de la brochette. Chachliks et kebabs se mangent accompagnés d’oignons au vinaigre. La viande est légèrement épicée ou parfumée à la coriandre.
• Les laghmans : longues nouilles qui se mangent en soupe ou sautées.
• Les manty : gros raviolis cuits à la vapeur et fourrés de viande et d’oignon.
• Les chuchvara : raviolis également, mais qui sont garnis de carotte ou de potiron.
Climat
Les saisons les plus fréquentées par les touristes sont le printemps et l’automne. En avril, mai et juin les températures sont plutôt agréables, les paysages sont magnifiques et c’est la saison des vers à soie. Les mois de juillet et d’août sont très chauds, et la fréquentation est alors assez faible. En septembre et octobre les températures sont moins élevées, et c’est l’abondance des marchés pendant la saison du coton.
Hygiène
Le Ministère des Affaires Etrangères ne préconise pas de vaccin particulier (outre les précautions habituelles) car le climat ouzbek est très sec. Les conditions sanitaires locales sont loin des normes européennes mais en cours d’amélioration.
Nous conseillons aux voyageurs de prévoir un traitement anti diarrhéique préventif et de rester prudent sur l’abus de nourriture (notamment les crudités et les fruits frais).
Notons que l’eau courante n’est pas potable, même dans les grands hôtels ; à titre indicatif il faut compter environ 1 700 Soums pour une bouteille d’eau minérale. Dans les établissements internationaux, les toilettes sont propres. En dehors, elles peuvent quelques fois être plutôt médiévales ! Toutefois l’attrait culturel et le charme des populations locales font rapidement oublier ces quelques désagréments quotidiens.
Représentation française
Une ambassade de France est présente à Tachkent, avec notamment un service consulaire. Les services de l’ambassade sont à disposition de tous les voyageurs français lors de leur séjour en Ouzbékistan.
Ambassade de France
25 rue Istiqbol TACHKENT
Tél : (+998 71) 232 81 00
Fax : (+998 71) 233 62 10
Téléphonie
Les téléphones portables fonctionnent dans les grandes villes sous réserve de souscription du forfait correspondant auprès de l’opérateur de la ligne. Les voyageurs peuvent également utiliser les téléphones des hôtels, mais les tarifs sont assez élevés (environ 5 € la minute !).
Pour téléphoner de l’Ouzbékistan vers la France depuis un mobile, il faut composer l’indicatif +33 et le numéro du correspondant sans le premier zéro.
Pour téléphoner de la France vers l’Ouzbékistan, il faut composer l’indicatif +998 suivi du code de la ville puis du numéro du correspondant.
Electricité et normes métriques
L’Ouzbékistan utilise des prises électriques similaires aux normes françaises (220 V, sans adaptateur). L’Ouzbékistan utilise l’ensemble du système métrique international. L’électricité peut fonctionner par intermittence. Prévoir une lampe de poche en cas de déplacement nocturnes.
Envois postaux
Nous conseillons de mentionner le nom du pays de destination des cartes postales en ouzbek (France = Fransiya, Belgique = Belgiya).
Les boutiques de souvenirs et les hôtels peuvent proposer une vente de timbres (dans la limite des stocks disponibles) à un tarif légèrement plus élevé que dans les bureaux de poste. Tout autre achat de timbre n’est pas prévu au programme mais pourra être effectué lors des temps libres dans les villes traversées.
Les courriers peuvent être postés dans les boîtes aux lettres des hôtels, prévues à cet effet, ou bien confiés au guide qui s’en chargera. Attention, il convient de ne pas fonder de grands espoirs sur un envoi postal au départ d’Ouzbékistan : une grande partie des courriers n’arrivera peut-être jamais !
Souvenirs
Tissus précieux :
• Les suzanis : tentures murales aux motifs traditionnels. Chaque ville possède des motifs différents.
• Les yourtas, ces longs rubans en laine de chameau, couverts de motifs traditionnels kazakhs et qui servaient à décorer l’intérieur des yourtes en s’entrecroisant dans tous les sens.
• Les tioupés, petites calottes traditionnelles noires ornées des motifs de la région.
• La soie se trouve dans tout le pays, mais est tissée dans la vallée de Ferghana, à Marguilan. Le plus fréquemment, on la trouve au mètre sur les bazars, décorée des couleurs vives des ikats traditionnels.
Objets traditionnels :
• La céramique provient de Gijduvan, à quelques dizaines de kilomètres de Boukhara.
• Le cuivre est également présent sur de nombreux bazars et représente un cadeau luxueux.
• Les tapis : aux motifs afghans, turkmènes ou boukhariotes.
Argent
La monnaie nationale est le Soum ouzbek (1 € = 11 177 Soums à ce jour). Des billets de 50, 100, 200, 500 et mille Soums sont en circulation, tout comme les euros (billets impeccables impérativement !) dans la plupart des boutiques de souvenirs. En revanche, pour les petites dépenses nous conseillons l’utilisation de la monnaie locale.
L’utilisation de la carte bancaire pour des paiements et des retraits est très compliquée, pour ne pas dire impossible.
Nous invitons donc les voyageurs à prévoir de l’argent liquide qu’ils pourront changer s’ils le souhaitent une fois sur place, dans les hôtels ou les bureaux de change.